La première bande dessinée de Transcripteur Raconte de manière autobiographique comment l’auteur, qui travaille en tant que transcripteur en braille, a annoncé et géré l’annonce de sa transition dans le cadre de son travail après 1 an de prise d’hormones.

La deuxième bande dessinée de Transcripteur se passe avant la première et raconte de manière autobiographique les premiers signes de sa dysphorie de genre et tout ce qui a suivi: l’annonce de son changement de pronom, l’envie de changer de genre, les rendez-vous chez un médecin et un psychologue, la prise d’hormone, l’annonce à sa famille et à son conjoint.

Toujours la même qualité dans le trait et le choix des couleurs, la même pudeur à partager des moments intimes sans voyeurisme, qui permet à la fois de s’identifier et/ou de s’informer sur les questions de la transition et du métier de traducteur en braille.